Andrea Vigani (1970)
Strand behind (2005 -2006)
for a percussionist, ten dancers and electronics, on a choreography by Yuval Pick
electronic work, Ircam
stage work
- General information
-
Composition date:
2005 - 2006
- Duration: 20 mn about
- Publisher: Suvini Zerboni, Milan
- Commission: CNSMD Lyon et Ircam-Centre Pompidou
-
Composition date:
2005 - 2006
- Type
- Solo (excluding voice) [Multiple percussion instruments]
Detailed formation
- 1 percussionist, 10 dancers
Premiere information
-
Date:
7 February 2006
Location:France, Lyon, le Tobbogan
Performers:Romeo Monteiro : percussion et le Jeune ballet de Lyon (Blandine Béchaux, Fanny Bonneau, Riikka Kosola, Anna Massoni, Sandrine Monin, Marie Papon, Baptiste Coissieu, Lazare Huet, Michaël Pascault, Antoine Roux-Briffaud), costumes : Maïté Chantrel.
Information on the electronics
RIM (réalisateur(s) en informatique musicale):
Alexis Baskind
Electronic device: dispositif électronique non spécifié
Program note
Musique, danse,
Expressions ancestrales de l’existence de l’homme, langages soustraits à l’encombrement d’un signifiant syntaxique, peu corrompus par les règles propres du jeu social.
(…dix interprètes explorent l’espace de leur liberté…)
Confrontations, comportement, recherches d’un « soi » et d’un « autre », se retrouver, surtout, dans un espace commun, participation à un souvenir partagé, où le temps marche en crabe, sa flèche épousant la direction du regard, c’est la curiosité d’un paradoxe non linéaire.
(… ils donnent des signes, des couleurs, dans l’apparition des associations et combinaisons fragiles qui les constituent à des yeux cachés dans la pénombre, d’un théâtre…)
Un rythme, brève illusion d’un point d’appui gravé par le hasard.
Un geste, pour se souvenir que dans le « maintenant » chaque chose a une cause et une conséquence.
Expressions ancestrales de l’existence de l’homme, langages soustraits à l’encombrement d’un signifiant syntaxique, peu corrompus par les règles propres du jeu social.
(…dix interprètes explorent l’espace de leur liberté…)
Confrontations, comportement, recherches d’un « soi » et d’un « autre », se retrouver, surtout, dans un espace commun, participation à un souvenir partagé, où le temps marche en crabe, sa flèche épousant la direction du regard, c’est la curiosité d’un paradoxe non linéaire.
(… ils donnent des signes, des couleurs, dans l’apparition des associations et combinaisons fragiles qui les constituent à des yeux cachés dans la pénombre, d’un théâtre…)
Un rythme, brève illusion d’un point d’appui gravé par le hasard.
Un geste, pour se souvenir que dans le « maintenant » chaque chose a une cause et une conséquence.
Andrea Vigani et Yuval Pick.