Philippe Manoury
2 flutes (also piccolo), 2 oboes, 3 clarinets (also bass clarinet), 3 horns, 3 trumpets, 2 trombones, tuba, 2 percussionists, harp, piano, 2 electronic/MIDI keyboards/synthesizers [DX7], 4 violins, 4 second violins, 4 violas, 4 cellos, 3 double basses
France, Strasbourg, festival Musica
Armand Angster : clarinette basse, Electric Phoenix, orchestre Carme de Milan, direction : Luca Pfaff.
France, Strasbourg, festival Musica
les mêmes interprètes.
L'idée de composer une œuvre de vaste dimension telle que je l'avais déjà expérimentée dans Zeitlauf se retrouve dans Aleph. Il s'agit ici de l'exploitation incessante du même matériau, qui est vu sous différentes perspectives, lesquelles suivent chronologiquement le mouvement d'une certaine évolution des formes musicales dans l'histoire. En d'autres termes, cela va vers une certaine complexité.
Successivement, les perspectives rythmiques, mélodiques, harmoniques et polyphoniques dérouleront ce matériau, chaque étape englobant la précédente. La fin constitue une immense polyphonie dont le nombre de parties est sans cesse variable, et représente probablement ce que j'ai réalisé de plus rigoureux et de plus complexe au niveau de l'écriture.
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