4 flutes, 2 oboes, 2 English horns, 3 clarinets, bass clarinet, 3 bassoons, 4 horns, 4 trumpets, 4 tenor/bass trombones, timpani, 4 percussions, piano, 2 harp, 14 violins, 12 second violins, 10 violas, 10 cellos, 8 double basses
France, Paris, Radio France
l'Orchestre National de France, direction : Michael Luig.
« Le propos initial de cette histoire est de se laisser aller aux harmonies du diable et aux plaisirs de la sensualité (on dirait maintenant à la recherche d'une "nouvelle sensualité" pour faire mode ou étiquette). Le plaisir est un parcours qui va de la logique d'enchaînement des idées à la cassure de toute logique pour que s'exprime le désir. Mais le chemin est balisé par la désolation qui ponctue et fait échec au plaisir...
Et c'est terrible...
Cette parole narrative se fraie un passage à travers des styles changeants, dont les contradictions sont utilisées pour leurs qualités expressives. Ainsi le discours se développe le long de trois mouvements enchaînés : Harmonie du diable ; Plaisir-Désir ; Ronde de la désolation. »
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