Dans les deux œuvres Ombre 1 et Ombre 2, comme le titre l’indique, la partie électronique fonctionne comme une ombre de la partie instrumentale, et est intégralement construite à partir de sons de l’instrument soliste.
L’univers sonore est celui de la composition globale, non celle d’une démonstration technologique – comme d’autres œuvres conçues pour piano (Jeux).