percussionist
Lors de la composition, s’est imposé le souvenir d’une photo de l’installation La mort de James Lee Byars. Dans cette œuvre, des feuilles d’or tapissent les murs, le plafond et le sol d’une pièce dans laquelle une boîte large et grande comme un homme est placée au sol. L’artiste utilisa cet espace en tant que lieu de performance. Se sachant atteint de maladie, il se vêtait d’habits dorés et simulait sa propre disparition.
La couleur de l’appareillage percussif composé de cencerros, de crotales et d’une timbale, ainsi que la recherche sur les prolongations possibles entre des sons électroniques et des sons métalliques teintés d’impuretés furent déterminants dans cette analogie. Cette référence ne fut pas première mais elle accompagna le travail et l’imaginaire de la matière sonore : composition de murs sonores vivants et vibratiles autour d’un centre alternant mouvements et paralysie.
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