flûte, hautbois, clarinette, basson, violon, violoncelle
L’idée d’interpolation est présente dans cette pièce, mais il ne s’agit pas d’interpolation sérielle (comme cela a été théorisé par Herbert Eimert, par exemple), mais plus « génétiquement » de l’écriture de « parcours interpolés » entre les cinq instruments. Bien entendu, il s’agit d’une oeuvre qu’utilise le total chromatique, avec des grands sauts d’intervalles, mais sans que soit nécessaire de le lier avec une notion de succession ou de causalité directe : il y a aussi a considérer les interpolations de vitesse, et de registre dans le sens vertical du terme, appliqué à des « zones causales » non-fonctionnelles.
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