- Informations générales
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Date de composition :
2003 - 2004
- Durée : 10 mn
- Éditeur : Inédit
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Date de composition :
2003 - 2004
- Genre
- Musique concertante [Piano et ensemble de 10 à 25 instruments]
Effectif détaillé
- soliste : piano
- 2 flûtes, hautbois, 2 clarinettes, basson, 2 cors, trompette [en ut] , trombone basse, 3 percussionnistes, harpe, violon, violon II, alto, violoncelle, contrebasse à 5 cordes
Information sur la création
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Date :
21 octobre 2005
Lieu :France, Paris, Conservatoire national supérieur de musique et de danse, espace Maurice Fleuret
Interprètes :l'orchestre du conservatoire, direction : Frank Ollu.
Note de programme
Le titre Domaine lumineux représente la clarté des accords qui sont construits par spectres harmoniques basés sur les notes fondamentales si bécarre, la bémol et sol bécarre. Chacun des trois accords me donne non pas seulement la couleur, mais la clarté de l’éclat, soulignée par la lumière de scène.
Chaque intervalle des notes fondamentales, qui sont en relation tierce, rappelle la fonction tonale de la musique romantique (la modulation tonale). L’autre phase de la musique romantique, la virtuosité, m’attire notamment par l’esprit de vigueur du piano soliste.
Le motif dont le mouvement est sinusoïdal basé sur la durée 5, 6, 7, 8 et 9, traitée comme les durées proportionnelles, se lance par période assez courte, jouée par le piano et se développe à la durée des séquences superposées par groupes instrumentaux, et finalement se dilate à la section entière. J’ai pris l’idée qui provient de la notion fractale pour cette réalisation.
A la fin de cette pièce, les spectres harmoniques sont désincarnés et remplacés par des sons bruités et la scène devient plus en plus sombre, au contraire du commencement de cette pièce où la lumière sur la scène se monte très progressivement.
Chaque intervalle des notes fondamentales, qui sont en relation tierce, rappelle la fonction tonale de la musique romantique (la modulation tonale). L’autre phase de la musique romantique, la virtuosité, m’attire notamment par l’esprit de vigueur du piano soliste.
Le motif dont le mouvement est sinusoïdal basé sur la durée 5, 6, 7, 8 et 9, traitée comme les durées proportionnelles, se lance par période assez courte, jouée par le piano et se développe à la durée des séquences superposées par groupes instrumentaux, et finalement se dilate à la section entière. J’ai pris l’idée qui provient de la notion fractale pour cette réalisation.
A la fin de cette pièce, les spectres harmoniques sont désincarnés et remplacés par des sons bruités et la scène devient plus en plus sombre, au contraire du commencement de cette pièce où la lumière sur la scène se monte très progressivement.
Kenji Sakai.
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